Kinshasa, une ville en construction

L’Afrique, terre d’opportunités immobilières

Éternel oublié de la croissance mondiale, le continent africain est en train d’entamer une marche forcée pour tenter de rattraper les autres puissances régionales. Preuve de cette embellie, le marché immobilier africain se porte à merveille, faisant face à une croissance tant démographique qu’économique. Les villes s’étendent et la demande se fait de plus en plus précise. Avant d’investir dans l’immobilier en Afrique, prenez tout de même quelques dispositions.

 

La nouvelle donne africaine

La section habitat de l’ONU prévient : au cours des 40 prochaines années, la population africaine devrait tripler, rien que ça. Ce qui signifie de manière très logique que le marché de l’immobilier devrait croître en conséquence au niveau du logement comme au niveau des prix du locatif et à l’achat.

Aux chiffres de la croissance, on peut logiquement apporter ceux de l’urbanisation. Les richesses crées vont s’accumuler en ville, créant de l’emploi et attirant les ruraux en ville, comme ce fut le cas chez nous auparavant. Le résultat le plus visible ? La création d’agglomérations gigantesques dans certains pays africains. Si aujourd’hui Le Caire compte 11 millions d’habitants, la ville devrait se voir dépassée par Lagos (Nigéria) avec 12,4 millions dès 2015 et Kinshasa (RD Congo) qui devrait dépasser les 12,7 millions en 2020.

L’émergence du marché immobilier se retrouve déjà dans la volonté des acteurs locaux et internationaux d’investir rapidement le marché. Des études tendent d’ailleurs à prouver ce point comme le prouve l’étude Africa Report 2013*.

On note aussi, point important, la multiplication des offres, ce qui indique la bonne santé de l’Afrique. Grandes surfaces commerciales, bureaux, immobilier haut et moyen de gamme… La population africaine devient de plus en plus demandeuse de variété et de qualité dans le secteur de l’immobilier.

 

S’informer : une priorité

Avant de partir à l’assaut d’un tel marché, il est plus prudent d’effectuer un travail de recherche et de veille. Qui dit marché en devenir, ne dit pas pour autant qu’il ne s’agisse pas actuellement d’un faux départ. On retrouvera alors les balbutiements et les symptômes d’une crise dans l’actualité africaine.

Cette actualité doit être votre première source d’informations et donc de décisions : comme tout marché, l’économie africaine dépend de facteurs divers (et vice-versa). Ces facteurs peuvent être annonciateurs de bonnes comme de mauvaises nouvelles. Un conflit armé aura forcément tendance à toucher l’économie de plein fouet et donc de mettre en péril vos projets immobiliers sur place quand l’accroissement de la classe moyenne semble être une bonne chose pour vous.

Pour vous tenir au courant, n’hésitez pas à utiliser les médias locaux (attention toutefois à multiplier les sources car les régimes les plus durs ne vous donneront pas les clés de l’économie) ou à faire appel à des sites spécialisés comme IZF qui effectue un riche travail de veille ainsi qu’une étude documentaire sur les opportunités en zone franc CFA. Avec ce site, vous devriez pouvoir commencer à envisager sereinement d’investir en Afrique.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.